Depuis les indépendances africaines, le débat n'a jamais été résolu. Faut-il maintenir coûte que coûte l'enseignement du français (même s'il n'est pas parlé dans l'environnement familial) ou privilégier les langues locales au risque de limiter les débouchés de l'éducation (à l'international mais aussi parfois au sein d'un même pays) ? L'OIF et l'AFD testent actuellement une approche combinatoire.
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