Il a suffi d'un article du New York Times, le 30 janvier, consacré au boom de l'enseignement du français à New York pour lancer le débat : quel intérêt d'apprendre la langue de Molière au moment de la montée en puissance de la Chine, ou de l'importance grandissante de l'espagnol aux Etats-Unis, s'interrogeait, avec un certain scepticisme, le magazine d'opinion The New Republic. Depuis, les arguments pour ou contre fusent sur Internet, du Huffington Post à The American Conservative en passant par Business Insider. Mais n'en déplaise aux sceptiques, la demande pour l'enseignement du français n'a jamais été aussi forte qu'aujourd'hui, y compris de la part d'Américains, au point que l'offre a du mal à y répondre.
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A New York, des classes bilingues franco-anglaises très prisées
Le Monde.fr | 14.02.2014 à 04h17 • Mis à jour le 14.02.2014 à 08h45 | Par Stéphane Lauer (New York, correspondant)
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